Souffle Mots

Amour d’un fils

27th novembre 2007

Amour d’un fils

Salut!

Hier j’ai voulu écrire un poème sur le thème de l’espoir (à cause d’un concours auquel je compte participer). Seulement j’ ai encore raté (j’avais déjà essayé)…je l’ai montré à mes proches, il  n’ont pas compris, et c’est vrai  que le thème ne ressortait pas …

Alors j’ai changé le titre et l’ai remplacé par le thème qu’ils avaient vu en mon poème. Et pourtant, même si je n’ai changé que le titre, j’ai l’impression qu’il n’est plus de moi car ce n’était pas l’image que j’avais de ce poème…

Vous en pensez quoi?

Bonne lecture, bye.

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 Amour d’un fils.

 

Avant même de savoir ce qu’était l’amour,

J’ai su que je l’aimerai jusqu ‘au dernier jour.

Quand j’ai ouvert les yeux il était là; pour moi,

Il m’a tendu la main je ne sais pas pourquoi.

 

Depuis, pas un instant il n’a quitté mon coeur,

Gonflant les voiles de ma vie à chaque heure.

Aux mois qui se suivaient il a donné un sens,

Faisant glisser le bateau de mon existence.

 

Il m’a toujours protégé des intempéries,

Chassant les nuages embrumant mon esprit.

Il m’a poussé très haut, j’ai frôlé les cieux.

 

Mais un jour, tel une tornade sous mes yeux,

Mes rêves se sont envolés, il m’a quitté.

Alors j’ai sombré dans l’océan agité.

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21st novembre 2007

Pas toi mon frère

Salut !!!!

Voici mon premier post sur mon site (le reste ayant été transféré) !!!

Donc avant tout je veux remercier mon père qui a tout mis en place, transféré…. et Keitaro pour avoir pris la peine de faire une bannière même si elle ne convient pas (désolé).

C’est vrai, il manque encore des trucs, bannière, fond…mais il est oppérationel (vous pouvez poster des commentaires, allez y lool) !!

Bon, je ne vais pas m’éterniser, voici un poème qui doit être chanté sur l’air de "Mon fils ma bataille" (merci la chorale du collège) et que j’ai écrit durant les vacances de la Toussaint et que j’avais commencé en cours de math lol. J’espère qu’il vous plaira, bonne lecture.

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Pas toi mon frère.

Aujourd’hui j’tai vu partir,
Les larmes aux yeux,
J’ai même pas eu le temps d’ te dire,
Adieu.

J’ voudrais rev’nir en arrière,
Ne pas t’ laisser aller à la guerre,
Me faire tant de peine,
Et être le jouet de la haine,
Pas toi mon frère.

Quand t’es tombé à genoux,
Sous leurs coups,
J’suis d’venu complètement fou,
Tout d’un coup.

J’ai accouru près de toi,
Et j’ai tout fait pour qu’ tu restes avec moi,
Mais malgré mes prières,
Tu n’étais plus sur Terre,
Ho mon cher frère.

Je veux m’réveiller,
C’est un cauchemar,
Répond moi, s’il te plaît,
Il peut pas être trop tard,

Je veux pas le croire,
Je voudrais voir;
Briller, ton regard,
Il peut pas être trop tard.

Sous les coups des nombreux canons,
Meurtriers,
Nos rêves d’enfant se sont,
Effrités.

Ensemble on aurait eu un grand destin,
Mais voilà tu m’as laissé seul ce matin.
Ma vie tombe en poussière,
Je ne sais plus que faire,
Sans toi mon frère.

Je veux m’réveiller,
C’est un cauchemar,
Répond moi, s’il te plaît,
Il peut pas être trop tard,

Je veux pas le croire,
Je voudrais voir;
Briller, ton regard,
Il peut pas être trop tard.

Je veux m’réveiller,
C’est un cauchemar,
Répond moi, s’il te plaît,
Il peut pas être trop tard,

Je veux pas le croire,
Je voudrais voir;
Briller, ton regard.

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14th novembre 2007

Le voyageur intergalactique.

Salut tous! Voilà ma dernière nouvelle. C’était sur un livre, il disait d’écrire une histoire où le soleil était le héros. Au début j’ai eu du mal car le gros problème était que le soleil, il ets immobile et je voyais mal comment faire une histoire avec un protagoniste ne pouvant que parler et observer… Mais je suis arrivée à y remédier, comment? Lizez l’histoire :)

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Le voyageur intergalactique.


     Il était une fois un soleil qui chaque jour restait en place sans faillir à sa mission, en observant la planète Terre.

Il n’avait jamais le droit de se reposer et s’ennuyait tellement !

Mais tel était son devoir que Mère Nature lui avait imposé : toujours éclairer notre planète pour que règne la vie.

Il avait alors obéit, sans fléchir, sans se plaindre, seul, sans personne avec qui parler.

Cependant aujourd’hui il n’en pouvait plus. Des millénaires s’étaient écoulés mais il ne connaissait pourtant du monde qui l’entourait que les quelques planètes qu’il réchauffait.

C’est pourquoi un jour il se rebella et transgressa la règle.
Cette journée n’était pas comme les autres, c’était une des rares où le Soleil était caché par la Lune.

Et cette fois-ci, sans hésiter, il saisit l’occasion et tandis que Mère Nature ne pouvait l’observer, il s’éclipsa.

Il savait que le satellite de la Terre cacherait un moment sa fuite mais cela ne serait pas éternel et quand les hommes ne le verraient pas réapparaître et qu’ils s’inquièteraient, elle le saurait…
Alors, sans réfléchir à ce qu’il faisait, il traversa à la vitesse de la lumière le système solaire avant de s’engager dans un monde inconnu.

Peu de temps après il atteignit la galaxie d’Andromède et ralentit sa course pour observer cette étrange contrée.


     Tandis qu’il pénétrait en terre étrangère il fut accueilli par une vive exclamation. C’était la première fois que les habitants de la région voyaient un tel phénomène et ils s’imaginèrent d’abord avoir sous les yeux une immense étoile filante avant de se rendre compte que c’était un soleil en mouvement.

Pour sa part le voyageur du système solaire fut émerveillé de se retrouver au milieu des siens, dans un amas d’étoiles.

Lui qui se croyait unique dans l’univers il réalisa qu’il existait des milliards d’êtres semblables devant, eux aussi, éclairer leur entourage.

Les plus jeunes soleils, ceux qui n’avaient que quelques millions d’années, semblaient curieux de le connaître, d’entendre le récit de son aventure et de savoir par quel miracle il pouvait voyager.

Mais lorsque le fuyard s’approchait d’eux pour satisfaire leur désir de connaissances et apprendre par le même biais comment s’organisait leur région, les ancêtres qui n’étaient pas loin le faisaient reculer en tonnant: « Ne t’approche pas Rebelle! Il ne faudrait pas que tes idées s’étendent au delà de ta galaxie et viennent souiller la pureté du dévouement de notre race. »

Alors le Soleil rebroussait chemin, pantois et déçu.


     Après quelques essais d’approche infructueux, l’astre quitta cette galaxie peu hospitalière.

Il erra un moment sans savoir où aller mais certain de ne jamais retourner chez lui, en captivité; il était si bon d’être libre !

Tandis qu’il voyageait, il fit la rencontre d’un être des plus surprenant. Ils faillirent se heurter et le Soleil l’évita de justesse.

C’était une comète à la longue chevelure argentée dont la taille était bien inférieure à celle de l’étoile qui l’observait.

Mais à peine eut-il reprit ses esprits que l’étranger repartait déjà dans l’espace.

Le Soleil le suivit, curieux, et lui cria: « Attends-moi voyageur, où vas-tu comme ça? »

Sans s’arrêter la comète lui répondit: « Je ne sais pas, je voyage… »

L’astre se dit que cet être était bien étrange. Il disait ne pouvoir s’arrêter de courir tandis que lui avait défié Mère Nature.

Malgré tout il continua à le suivre intrigué : « Aurais-tu comme moi désobéi aux tiens et décidé de découvrir l’Univers? »

Le Soleil était tout excité, c’était la première fois qu’il parlait à une comète car, même s’il y en avait dans son système solaire, il était toujours trop occupé à réchauffer les astres environnants et cette race allait tellement vite qu’il ne pouvait échanger ne serait-ce qu’un mot avec eux.

La comète se retourna pour faire face à son interlocuteur qui peinait à le rattraper mais il continua néanmoins à filer dans l’espace et lui répondit : « Non, j’ai toujours connu la liberté. Mais tu sais, courir sans cesse n’est pas de tout repos et je paye les conséquences de cette absence de contraintes : dès que je m’approche d’une étoile, comme toi par exemple, je me désintègre chaque fois un peu plus. »

Quelques minutes s’écoulèrent et le Soleil demanda de nouveau: « Sais-tu, toi qui voyage toute ta vie, où prend fin cet immense Univers ? »

La comète rigola avant de répondre : « Non, voilà tout mon problème! J’avance, j’avance et jamais je n’en vois la fin. Peut-être est-il infini… »

L’astre acquiesça, il en apprenait beaucoup durant cette expédition.

« Je te remercie de tout mon coeur de ces renseignements mais j’aurais une dernière question : pourrais-tu m’indiquer un lieu intéressant à visiter?

- Non, je n’ai que trop parlé avec toi. Si je continue je ne serai bientôt plus que poussière. Va t’en ! »

Et sans que l’étoile ne puisse réagir la comète prit de la vitesse et le distança avant que l’astre ne le perde de vue.


     Au même moment Mère Nature se rendit compte de la disparition du Soleil et, tentant de contenir sa colère, elle convoqua son plus vaillant serviteur, la lumière :

« Mon ami, notre système solaire coure un grave danger. Je pense que tu l’as remarqué : l’astre de la vie s’est enfui.

Je crains pour l’existence des êtres vivants sur la Terre. Je vais essayer d’atténuer les dégats, mais s’il plaît va le chercher car lui seul peut rétablir l’équilibre. »

La lumière accepta et promit de le ramener le plus vite possible.


     Pendant ce temps le Soleil errait dans l’Univers, perdu, mais heureux d’être libre.

Et tandis qu’il se promenait sans direction donnée son regard fut soudain attiré par une magnifique créature.

Il arrêta sa course et la contempla avec un sourire béa.

Alors que son coeur battait la chamade et qu’il ne pouvait détacher ses yeux d’elle, cette dernière prit la parole d’une voix sensuelle et séduisante: « Bonjour jeune Soleil, ravie de te rencontrer. Je me présente, je m’apelle Envoutement et j’appartient à la race des trous noirs. Que me vaut l’honneur de ta visite? »

L’astre tenta de répondre mais, bégayant, il ne réussit à sortir que quelques mots dépourvus de sens. Sans plus attendre Envoutement poursuivit : « Tu es peu bavard étranger, me mépriserais-tu? »

Le Soleil se ressaisit quelque peu et s’exclama confus: « Oh non ma dame, tout au contraire, mon coeur brûle d’admiration pour vous. Je suis un hors-la-loi, j’ai quitté ma contrée pour voyager et je ne m’attendais pas à rencontrer une personne avec une aussi grande beauté. »

Le trou noir lui fit un large sourire et affirma: « Vos mots me vont droit au coeur.

  • Si je vous dis cela, c’est que vous allumez en moi une ardente passion qui ne pourrait s’éteindre. »

Envoutement attendit quelques temps, laissant son charme naturel agir avant de demander doucement : « Voudrais-tu t’approcher beau voyageur que je te montre l’étendue de ma splendeur et de mon être? »

L’astre acquiesça, ravi, et tandis qu’il s’apprêtait à la rejoindre pour jamais une voix semblant venir de chaque recoin de l’Univers tonna: « Ne le touche pas Noire Beauté ou la colère de Mère Nature viendra mettre fin à tes jours! »

Déboussolé le Soleil regarda autour de lui sans rien apercevoir d’autre que le trou noir qui gronda : «  Qui es-tu donc pour me donner des ordres? »

Et quelque part une voix répondit: « Je suis la lumière, le chasseur céleste, et je viens chercher ta proie. »

L’astre solaire avait l’esprit bien trop embrumé pour comprendre que sa liberté n’était plus et il s’inquiétait seulement pour le sublime être qui l’avait envouté.

Alors la lumière se détourna du trou noir et parla fermement au Soleil: « Tu dois rentrer chez toi, il en va de la vie de millards d’hommes, d’animaux et de plantes. Ils ont besoin de toi.

  • Non, non, je ne peux pas, je veux rester avec Envoutement, tu ne me feras pas changer d’avis. »

Le dévoué serviteur de Mère Nature, ne supportant plus d’être sans arrêt contredit et ralenti dans ses projets, rassembla son pouvoir et hurla: « Obéis moi! »

Ce fut comme une déflagration qui brisa l’enchantement et sortit le Soleil d’un long rêve.

Lorsque ce dernier eut repris ses esprits la lumière lui expliqua calmement la situation et convainquit l’astre de reprendre son rôle dans le système solaire.

L’étoile ne lui opposa que peu de résistance, trop fatigué par son voyage et les derniers évènements.

Le chasseur céleste escorta ensuite le Soleil le long du chemin de retour n’oubliant pas de lui faire de nombreuses remontrances sur ses actes irréfléchis.

Quand ils arrivèrent l’astre reprit immédiatement sa place au sein de sa galaxie, réchauffant de nouveau le coeur des êtres qu’il avait abandonné.


     Par la suite Mère Nature vint le voir et, contre tout ce à quoi il aurait pu s’attendre, elle s’excusa de ne pas lui avoir laissé assez de liberté.

Elle lui promit alors qu’à chaque éclipse, sans que l’oeil humain ne puisse s’en rendre compte et que cela n’ait de graves conséquences, il pourrait quitter son rôle et voyager un cours instant.

C’est ainsi que la vie reprit son cours normal. Et tandis qu’un jour il faisait le point sur son aventure l’astre comprit que les êtres étaient la plupart du temps égoïstes, vicieux ou antipathiques et que rien ne vaut sa propre familleet ses amis.

Pour le Soleil rien ne valait son système solaire…

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7th novembre 2007

Un autre blog…

Voilà, ce n’est pas du tout de mon habitude de poster deux fois par semaine et encore moins deux fois par jour mais c’est pour la bonne cause lol. Une amie voudrait avoir un avis objectif sur ses textes, c’est pourquoi je vous en montre un d’elle et vous donne son blog pour que, si vous vouliez, vous alliez le voir: http://bixounoursbb.skyrock.com/ ________________________________ Pourquoi C’est un sentiment, une question, Un moment, une illusion. Pourquoi défini tout et rien à la fois, Il peut faire mal, ou faire sauter de joie. Pourtant, c’est souvent le désespoir, Il envahi mon cœur, me fait voir tout en noir. S’il te plaît réponds moi, Ne t’en va pas, ne me laisse pas comme ça. J’ai peur de tout ça, de ce mot, de vous, de toi. Pourquoi faites-vous ça ? J’ai mal, tu ne le vois donc pas ? C’est fini, j n’ai plus confiance en toi. Pour vous, il est facile de fermer les yeux, Peut-être n’avez-vous pas de sentiments, Vous ne voyez qu’un ciel bleu, Tant pis pour nous, vous avez gagné, largement. Aujourd’hui mon cœur saigne, Alors que je ne voulais pas vous faire de peine, Juste être franche, dire ce que je pense. Maintenant tu m’en veux, alors que ça n’a aucun sens. Je ne m’adressais pas à toi, Mais tu t’es mis à sa place, Tu as tous pris pour toi, Aujourd’hui je pleurs, et mon cœur se glace. By: http://bixounoursbb.skyrock.com/2.html

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7th novembre 2007

Pleine lune sur le Poète.

Salut tous!

Le poème que je vous montre aujourd’hui, j’ai pris l’idée sur un autre blog littéraire: http://kolokol.skyrock.com/ Il fallait écrire un poème en le commençant par "Le poète est semblable à…." et voilà le résultat. J’espère qu’il vous plaira, n’hésitez pas à critiquer.

Bye, bonne lecture.

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Pleine lune sur le Poète.

 

Le poète est semblable à notre lune,
Qui ne nous montre qu’une seule face,
Celle de la folie que chacune,
De ses phrases toujours embrassent.

 

Le poète est semblable à notre lune,
Qui fait la lumière sur la nuit,
Régnant dans nos esprits, où aucune,
Personne jamais ne nous y suit.

 

Le poète est semblable à notre lune,
Tout deux couvert de cratères immenses,
Tristes souvenirs, douleurs communes,
Sources d’inspiration, de démence.

 

Le poète est semblable à notre lune,
Les Hommes croient qu’ils sont à leur porté,
Disséquant leur strophes une à une,
Mais bien protégés sont leurs secrets.

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